La "collégialité" , qualité d'être en collège, n'a jamais été synonyme de majorité, mais de convergence sous la houlette d'une loi supérieure.
Le collège de France, pour la tenue de notre culture, etc...
Or, ces mots de collégialité ne sont-isl pas déviés, comme tant d'autres comme le "bonheur du peuple", pour servir d'appeaux aux pigeons pas doués ?
Autrement dit, verrions-nous deux catégories d'évêques : ceux qui la prônent pour éviter d'obéir au Pape, ou à la loi ecclésiale vraie, donc traditionnelle, et les autres pour se planquer quand ils ont à prendre un avis qu'ils ne savent pas tenir seuls, ou pour chercher un bouclier, une porte dérobée si facile à présenter poliment à tout interlocuteur tenace ?
La conférence des évêques de France est-elle un de ses politburo qui évite à un évêque de répondre désagréablement ? Les consezils épiscopaux sont-ils autre choses que ses relais noyautés sous couvert de "bonne âme attentive à vos problèmes" ?
Vous avez dû avoir un avis là-dessus lors de vos investigations, mais pourrez-vous nous le dire ?
Merci de votre venue, et bonne soirée sous le feu !
Glycéra |