Il soutient (p. 68) que la concélébration est « rendue obligatoire le Jeudi saint », alors que la concélébration n’est jamais requise, comme le rappelle notamment le canon 902 du Code de droit canonique. Dans le même genre d’imprécisions, il prétend (p. 166) que « tout prêtre oriental peut célébrer selon le rite latin », ce qui est évidemment faux, et contraire en particulier au canon 846 § 2, qui rappelle que « le ministre célébrera les sacrements selon son rite propre ». Il se contredit d’ailleurs sur ce point deux pages plus loin, affirmant (cette fois-ci à juste titre) que « dans l’Église, on ne choisit pas son rite : on célèbre celui de sa propre tradition ».