Une autre question cher monsieur,
Comment selon vous (et c'est à l'artiste "élève" de Charlier que je m'adresse) donner du sens aujourd'hui à des créations religieuse dans un monde où l'image est omniprésente mais également dans un monde où tous les codes iconographiques chrétiens tendent à disparaître. Pour avoir étudié et corrigé des copies à l'Ecole du Louvre qui forme quand même les futurs conservateurs, commissaires priseurs etc, je ne compte plus les "jeunes femme et enfant" pour Madone et les "rois musiciens harpiste" pour David. De même je m'inquiète toujours lors de visites d'églises ou de musée faites avec un publique catholique, souvent tradi de surcroit de l'ignorance de l'iconographie traditionnelle.
Doit-on donc selon vous adapter les codes, en créer de nouveaux ou rééduquer (mais comment).
Merci pour votre présence parmi nous ce soir, et pardon pour mes questions tardives, mais je suis réellement heureux de voir traiter ici et avec brio par vous ce sujet qui me tiens à coeur. |