Monsieur l'abbé,
N'y a-t-il pas quelques fondements aux déceptions qui semblent se faire jour dans le camp tradi-conservateur deux ans quasiment après l'élection de Benoît XVI ?
Quelques exemples :
- nominations étranges : Claudio HUMMES ;
- liturgie : motu proprio arlésienne alors que comme le rappelle Luc PERRIN, le cardinal RATZINGER réfléchit sur la liturgie depuis plus de 30 ans ;
- poursuite des discours ambigus sur l'Islam (visite controversée en Turquie).
Le bilan n'est-il pas décevant au bout de deux ans ?
BENOIT XVI ne se révèle-t-il pas pusillanime ? |