Le Forum Catholique

http://www.leforumcatholique.org/message.php?num=9524
images/icones/hein.gif  ( 9524 )Une symbolique? par Colinas (2010-12-10 21:47:09) 

Bonsoir,
Ma question porte sur la symbolique du Nouvel Art Moderne (post Vatican II). Y a-t'il un symbole maçonnique ou _pire_ sataniste ou bien même un symbole quelquonque dans l'art contemporain liturgique? Ou bien n'est-ce que désordre et art primaire?

Si je cherche sur Google "croix de Jean-Paul II", j'arrive très vite sur le "Twisted Crucifix". Vrai ou faux je n'en sais rien, pas plus que le trône avec la croix à l'envers du même Pape lors de son homélie sur la Montagne en Galilée. (chose que je viens de découvrir également sur ce même site américain)

Sont-ce des choses voulues ou est-ce-que les Catho-américains cherchent à trouver un nouveau sénario catastrophe? (sans rancune pour nos amis outre-Atlantique)
Il m'apparait évident de toutes manières que tous les arts post Vatican II confondent "le simple" et "le primaire".

Pour résumer ma question, y-a-t'il une symbolique dans l'art liturgique moderne et que cherche t'elle à transmettre?
Cordialement


Colinas
images/icones/neutre.gif  ( 9541 )il est facile de rechercher par Stephdi (2010-12-13 15:29:15) 
[en réponse à 9524]

la maçonnerie et le satanisme dans l'après Vatican II quand on refuse les principes de base de l'iconographie chrétienne,
par exemple, le fait que dans les attributs de notre premier Pape figure la croix renversée, exemple de la Cathédrale de Strasbourg :


Que le satanisme ou la franc-maçonnerie ou n'importe quoi d'autre détournent ces symboles ne saurait nous forcer à les renier.

bien cordialement
Stéphane
images/icones/neutre.gif  ( 9545 )symbolisme démoniaque? par Samuel Martin (2010-12-13 18:32:45) 
[en réponse à 9524]

Bonsoir Colinas,
Une discussion sur le symbolisme nous entraînerait loin, ne serait-ce que pour le définir d’une façon à être sûr que nous parlions bien de la même chose. Je ne suis pas persuadé qu’il y ait un symbolisme actif démoniaque dans l’art contemporain liturgique. Celui-ci est d’ailleurs à peine existant. Il tendrait plutôt à la laideur, à la médiocrité, avec une certaine bonne volonté : façon tiède et facile de céder au diable sans s’en rendre compte, en rendant profane ce qui par excellence devrait être sacré.