Je connais des membres qui disent (se vantent ?) de telles pratiques et vous poussent à les suivre (euphémisme) sur ce "chemin" qui serait obligatoire pour accéder à la sainteté.
Cela dit, les membres de l'Opus Dei que j'ai rencontrés m'ont tous dit que les meilleures mortifications, ils les trouvaient «dans la vie quotidienne: savoir sourire, offrir les contretemps, travailler en conscience, etc », et que celles-là , non seulement elles peuvent coûter beaucoup, mais en plus on ne les remarque pas. Quand tu jeûnes, parfume-toi la tête, disait Quelqu'un.
Je suis content de ce que vous dites. Vous avez forcément rencontré plus de membres et plus haut placés que ceux que je connais.
Effectivement la vie quotidienne propose de nombreuses et parfois lourdes mortifications.
Question subidiaire:
Quand on est malin, on reste discret sur ce genre de choses vis à vis d'une journaliste extérieur à l'oeuvre.
Cela n'empêche sans doute pas de faire pression sur les membres pour qu'ils passent à ce genre de pratiques. Vu les pressions exercées sur des êtres plus faibles, je me dis que ceux qui les exercent ont bien dû les subir.
Mais peut-être, cette question est-elle tordue ?
Griffon.