Actuellement, exceptées les amendes et les travaux d'intérêt généraux qui semblent avoir du mal à se mettre en place, il ne semble pas qu'il y ait d'autres peines possibles que la prison.
Or, la prison est reconnue comme étant parfois plus une école de délinquance qu'une structure de repentir (mais vous aurez peut-être répondu à cette précédente question).
En regardant notre passé, on constate qu'il existait des peines pour les petits délits comme par exemple le pilori.
On soumettait le condamné à une sorte d'humiliation publique, mais courte et rapide, qui pouvait lui passer le goût de recommencer.
Pensez-vous qu'il serait judicieux de rechercher des solutions de cet ordre, alternative à la rétention carcérales ?
Thomas |