Bonsoir Colinas,
Une discussion sur le symbolisme nous entraînerait loin, ne serait-ce que pour le définir d’une façon à être sûr que nous parlions bien de la même chose. Je ne suis pas persuadé qu’il y ait un symbolisme actif démoniaque dans l’art contemporain liturgique. Celui-ci est d’ailleurs à peine existant. Il tendrait plutôt à la laideur, à la médiocrité, avec une certaine bonne volonté : façon tiède et facile de céder au diable sans s’en rendre compte, en rendant profane ce qui par excellence devrait être sacré.
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