... n'est-elle pas l'alliage nécesaire à toute avancée ? Vous aviez écrit, dans Propositions pour une paix dans l'Eglise qui date de 2006, que les réformes de la Semaine sainte n'ont pu passer sans une entente entre ceux qui voulaient une réforme radicale et ceux qui souhaitaient des réformes modérées ? Ces deux aspects critiques ne sont-ils pas condamnés à s'entendre ?