il est délicat de se prononcer dans votre cas, mais il ne devrait pas être impossible de trouver des témoins en cherchant bien. il m'est rarement arrivé (pour ne pas dire jamais) d'être obliger d'interrompre une procédure par manque de preuve. souvent on ne pense pas à telle ou telle personne, un peu moins proche, mais sérieuse qui a compris beaucoup de chose, pour prendre un exemple.
les preuves écrites sont recevables bien entendu. des preuves indirectes aussi, c'est à dire si la personne qui engage la procédure est jugée crédible: par son propre témoignage, par l'expertise psychologique à laquelle elle accepte de participer.
n'hésitez pas à prendre contact ou à faire prendre contact avec l'Officialité qui saura conseiller la meilleure façon de procéder.
pour contacter l'officialité on peut passer par l'évêché de son lieu de résidence.
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