M. l'abbé,
J'ai lu avec intérêt votre brochure.
Vous dîtes clairement qu'il y a une présomption de validité mariage. Or, logiquement, s'il y a présomption, les annulations sont limitées et rares. Malheureusement, ce n'est pas le cas. Elles sont nombreuses.
Mais, en outre, la canon 1095, en admettant une cause aussi vague, n'est-il pas une sorte de fourre-tout qui a permis de justifier des annulations ? Ne contredit-il pas l'esprit même du Code qui est quand même axé sur le maintien du lien conjugal ? |