Bonsoir de bonsoir, Monsieur l'abbé,
Merci d'être des nôtres.
Pour éviter d'aller vers un recours en nullité ou annulation, pourriez-vous nous indiquer quelques conseils préalables pour des fiancés ou futurs fiancés pour "éprouver" leur moitié et s'assurer finalement que leur choix est le bon ? Votre expérience de prêtre doit être riche en la matière, non ?
Avec ma gratitude.
Sigis. |