Le don d'organe est légitime lorsqu'il ne met pas en péril le donneur.
Qu'en est-il des organes vitaux, qu'il faut prélever "avant la mort physique" mais après "la mort cérébrale" ?
Qu'elles sont les limites médiales pour déterminer la mort et donc pour autoriser ou non le don d'organes "post mortem" ?
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