Combien de prêtres célébreraient l'ordo de 1962 dans votre diocèse? S'ils le souhaitaient, mais sans en être capable (langue, méconnaissance de la liturgie) auraient-ils des moyens de se former?
Quelle différence cela représenterait-il par rapport à la situation actuelle?
L'ordo actuel serait-il plus souvent célébré en latin, cela pourrait-il constituer un effet collatéral du motu proprio?
En vous remerciant de bien vouloir vous livrer à un peu de liturgie fiction. |