Mon Révérend Père,
Je suis abonné à Sedes Sapientiae et je souhaitais tout d'abord vous dire le bonheur que j'ai de lire cette revue dont le seul défaut est d'être trimestrielle...
J'ai été très impressionné par la hauteur de vue des collaborateurs sur tous les sujets (même si je suis un peu plus réticent sur la tauromachie...), votre amour de l'Eglise et la charité que vous mettez dans le combat pour la vérité sans jamais vous renier vous-même.
Ma question porte sur votre vie commune. La vie dominicaine est souvent tiraillée entre l'apostolat et la vie commune. Comment parvenez-vous à vivre cette tension entre ces deux pôles ? N'ayant jamais pu me rendre à Chéméré, j'aimerais savoir si vous parvenez à trouver le temps pour chanter communautairement tous les offices. |