Pas seulement dans le sens liturgique, mais dans le sens de comprendre et admettre les liaisons et les richesses des autres traditions, ainsi que dans le sens de savoir lire la Vérité là où elle est manifestée.
Je pense à la douleur du Père Wallace, ce pasteur irlandais protestant, parti convertit aux Indes, apprenant le sanscrit quand il vit que les mots ne pouvaient en anglais rencontrer les concepts de ses interlocuteurs, et... devenant catholique, et prêtre, mais avec la condition de "se rogner les ailes" pour tous les savoirs que son directeur spirituel ne savait pas comprendre, donc admettre, les pensant hérétiques.
(Wallace, la Route des Indes, 1910)
J'ai aussi songé à l'abbé Stéphane, qui fut brimé aussi. A l'abbé Boone, isolé dans sa cure.
Est-ce encore le cas, à votre connaissance ? Rare ? Caché, certes, mais est-ce visible ? Clergé régulier plus libre que le séculier ? L'inverse ?
Merci de votre patience.
Glycéra |