Cher Monsieur,
Ce livre, avant de vouloir défendre la thèse de la continuité dynastique et de l'absence de rupture dans l'institution royale d'Hugues Capet à Louis XVI fut une lubie d'adolescent. Il faut bien l'avouer.
Ce n'est que progressivement que l'ouvrage, avec moi, s'est épanoui, pour devenir le livre publiable, puis publié qu'il est aujourd'hui. J'ai en somme un peu grandi avec mon livre, de 2003 à 2007.
Je dois, en tout cas, à la Saga Capétienne, de m'avoir donné le goût de l'écriture.
La recherche d'un éditeur fut en fait assez facile. Par le biais d'un ami, je confiai mon manuscrit à l'historien Philippe Conrad, durant l'été 2007, lui demandant s'il pouvait le lire, pour me dire ce qu'il en pensait, et éventuellement le transmettre à un éditeur.
Je n'ai plus eu de nouvelles par la suite, jusqu'à un mardi soir, en novembre 2007, où, rentrant chez moi, j'eu la surprise de trouver sur mon bureau une lettre des éditions Tempora me proposant une publication.
Concernant mon lectorat, j'en ignore la composition. Mais je suppose qu'il s'agit plus du lectorat propre à une maison comme les éditions Tempora, qu'au lectorat classique des livres d'histoire de France comme on peut le trouver aux éditions Gallimard, Perrin ou Fayard. Mais ce n'est qu'une supposition, faute d'un outil statistique.
A vrai dire, j'ai plusieurs projets d'ouvrages, assez divers, qui devraient m'emener sur des domaines que je connais pas encore. Mais pour ne parler que du concrêt, je suis en train de travailler à la préparation d'un livre sur les Mérovingiens et les Carolingiens. Mais là, je vous donne rendez-vous dans quelques années, vu l'importance du sujet et l'étendue de la documentation à maîtriser. |