Monsieur l'abbé,
en progressant vers l'âge adulte, on est souvent amené à rencontrer des personnes "immatures" qui n'arrivent pas à se défaire de leur mentalité adolescente, voire infantile, de quelques milieux qu'elles soient.
Comment les faire franchir ce cap, dans l'humilité (lorsqu'on est de leur âge), et la Charité.
Est-ce à nous de nous préoccuper de leur "retard" (s'il en est?)
Que doit on faire?
Doit-on abandonner ceux qui se gardent bien de grandir, croyant échapper aux problèmes adultes? |