Je pense qu'il faut être franc et savoir que de toute façon nous obtiendrons gain de cause demain , apres-demain ou l'année prochaine
A partir de là il faut bien l'expliquer au clerc et lui faire comprendre que la vrai question n'est pas sa réponse négative mais les conditions et le moment ou il nous donnera son accord

Et puis qu'il n'oublie pas au moment de prononcer des mots trop durs que demain lorsque nous travailleront ensemble dans la même paroisse nous auront à expliquer à nos enfants notre responsabilité dans les tensions que nous auront provoquées aujord'hui

A part cela rien à dire sauf allons-y tous et partout