Il nous faut en effet penser une formation capillaire et soutenue en direction des nouvelles générations. Une synergie étroite entre associations pro-vie et diocèses doit être notre priorité. Pour qu’aucun jeune ne sorte par exemple de l’enseignement catholique sans un enseignement rigoureux sur la famille, la sexualité, les enjeux bioéthiques,… Ils sont très demandeurs de ce genre de formation ! Mais cela signifie qu’il nous faire une révolution pastorale dans ce domaine. N’est-ce pas ce que demande inlassablement Benoît XVI ? |