Cher Monsieur,
qu'est-ce qui selon vous aujourd'hui continue à maintenir des limites éthiques dans la société ? Qu'est-ce qui fait que les différentes instances légiférant en matière de bio-éthique n'ont pas encore été plus loin dans la culture de mort, et imposent encore des restrictions en la matière ?
Est-ce un vieux relent de "culture judéo-chrétienne", la peur d'aller trop vite et de choquer, ou bien parce que mine de rien la loi naturelle demeure, au fond des consciences, immuable ?
Bien à vous
Une Ame |