Pour moi, le "Ciel", n'est pas un LIEU. Comme l'enfer n'est pas un lieu. J'appellerai plutôt "Ciel" l'état d'enfance dans lequel le chrétien, le croyant, celui qui a la foi, se retrouve, PENDANT SON VIVANT, dans une phase de créativité évidente, coulant de source, enfantine, qui lui confère, par bribes, de L'ETERNITE. Pour moi, le Ciel est au PRESENT. PENDANT LA VIE et non pas : après la MORT.