La Fraternité St-Pierre n’apporte pas sa signature à des conventions contraignantes dans ce domaine. Le cardinal Castrillon-Hoyos, dans la lettre qu’il adressait au chapitre général de 2000, précisait qu’aucun prêtre ne devait être contraint, que chacun gardait sa liberté. Signer une convention qui oblige à la concélébration, ce serait précisément contraindre le prêtre nommé. Les évêques, la plupart du temps, comprennent cela. D’ailleurs, une clause aussi contraignante paraît peu conforme à la liberté laissée à chaque prêtre par le canon 902 du Code de droit canonique. |