1- Je me permets une fois de plus de faire remarquer que la thèse soutenue par le Père Guérard des Lauriers n'était pas le sédévacantisme.
2- Le fait qu'un auteur ait commis sur un point d'ailleurs bien circonstancié une erreur même grave n'a jamais été considéré dans l'Eglise comme un motif pour se détourner de la lecture des parties de son oeuvre riche en doctrine et en vérités. |