entre les deux missels et la mention selon laquelle "l'histoire de la liturgie est faite de croissance et de progrès, jamais de rupture", sans jamais remettre en cause la réforme liturgique elle-même, ou tout moins son bien-fondé, m'incitent à penser que cette réforme de la réforme est toujours d'actualité, d'autant plus, comme vous le soulignez qu'il a manifesté continument cette intention dans ses ouvrages précédents. S'il ne remet pas en cause la validité et la sainteté du nouveau missel, il reconnaît qu'il a donné lieu à bien des déformations arbitraires présentées souvent comme découlant naturellement des possibilités d'adaptation qu'il offrait au célébrant, d'où l'idée que seule une réforme de la réforme pourrait limiter ces possibilités… Pour le reste, je n'ai pas de révélations précises, tout au plus des rumeurs de couloirs romaines…