Cher Dominique et (toujours !) ami, bien sûr que je peux donner des exemples d’attitudes positives et encourageantes de nos évêques : j’en donne même un certain nombre dans le « Livre noir des évêques de France » (éd. Renaissance catholique) comme l’a remarqué la critique quasiment unanime à voir dans cet ouvrage autre chose qu’un pamphlet (un Golias de droite !) mais « une enquête qui tient tout autant de la protestatio fidei que de la disputatio », essayant de demeurer dans la charité de la correction fraternelle. Je m’adresse aux évêques comme un fidèle du bout du banc, du dernier rang, mais qui a charge d’âmes en tant que père de famille et qui a aussi des responsabilités comme publiciste catholique.
Reste qu’en dépit de ces attitudes positives l’ensemble des faits que je donne est assez impressionnant pour induire ce que j’appelle la chronique d’une « Eglise par omission », par consentement (mutuel) notamment au « pacte laïciste ». Comme je le suggère en conclusion, avec la multiplication des heureuses exceptions que vous mentionnez, ce n’est pas un livre noir que je souhaite écrire demain mais plutôt « Les fioretti des évêques de France » !
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