Nos évêques semblent recourir de plus en plus systématiquement à des prêtres diocésains lorsqu'ils accordent localement l'application du motu proprio...
La libéralisation de la messe ne conduira-t-elle pas aussi à une accélération de ce phénomène ?
Quelles seraient les marges de manoeuvre de l'IBP mais aussi des autres instituts ED ?