Messieurs les abbés,
Ne pensez-vous pas que le caractère souvent excessif et parfois imprudent de la critique traditionnaliste (Cf. Le problème de la réforme liturgique, mais il y en a d'autres) nuit à notre combat et nous décrédibilise?
Dire aux fidèles qu'il vaut mieux lire la messe tridentine chez soi au lieu d'assister à la nouvelle messe si on n'a pas le choix, n'est-ce pas mettre l'aspect subjectif avant l'aspect objectif en donnant plus d'importance à la liturgie qu'à la présence réelle? (Le problème est bien sûr tout différent pour les enfants que l'on est en train d'éduquer, c'est évident)
Cordialement,
VS |