le point de vue de l'abbé Lorans et j'ai été très heureux de constater que tout en émettant d'importantes réserves, il a parlé du Saint Père avec beaucoup de respect et de confiance. Cela montre bien qu'au sein de l'Eglise, on peut parfaitement ne pas être pleinement d'accord tout en sachant s'écouter et se respecter.
Peut-on tout en étant au sein de l'Eglise ne pas reconnaitre le concile vatican II?
Ou bien peut on comprendre dans vos propos que la position de la fraternité au sein du Grec serait différente de celle qu'elle défend devant ses fidèles?