de votre lecture patiente. J'ai lu moi-même tous vos messages mais, comme vous voyez, je n'ai pu répondre à tous et je le regrette bien.
Merci particulièrement de votre aimable sympathie, même quand vous n'êtiez pas d'accord avec mes propos.
Permettez-moi d'arrêter à l'heure dite : je suis affligé d'un rhume fiévreux et je tombe de fatigue.
Merci de vos prières pour moi et pour tous mes confrères auprès de la Reine du Clergé. |