Cher M. l'abbé,
De vos évolutions (plus que de votre évolution), de vos connaissances à l'intérieur de Rome qui font de vous un observateur pointu, et, à l'occasion, un acteur, de votre appréciation des réformes actuelles (et à venir - réforme de la réforme), quel est le résultat pratique ? Tout en étant reconnu, vous êtes un critique. Tout en appréciant tel ou tel institut, telle ou telle fraternité, vous ne vous engagez concrètement dans aucun.
Cela est-il dû à votre nature - qui apprécie plus l'observation et le conseil (je n'ose parler d'une éminence grise...) ?
Ou alors - et c'est véritablement là ma question - que faudrait-il, quelle réforme faudrait-il, pour que vous vous retrouviez curé, chanoine, évêque... ou autre ?
Respectueusement,
Pius |