Lorsqu'on regarde la nomination de Mgr Centène à Vannes, on ne peut s'empêcher de penser qu'elle est devenue une exception au vu de celles qui l'ont suivie.
Comme si le pape n'était armé que d'une vieille pétoire à un coup. Autrement dit, on a l'impression qu'une fois la première nomination effectuée, une violente réaction du collège épiscopal français a finalement rapidement remis en vigueur les nominations "habituelles", c'est-à-dire furieusement progressistes ou pire.
Quel est selon vous, qui êtes un fin connaisseur de la Curie, le réel degré de liberté du pape dans les nominations d'évêques français ? |