Monsieur l'Abbé,
Je voudrais vous demander comment analyser vous le fait que le MOTU PROPRIO du Pape BENOIT XVI tarde à paraître et à être communiquer à toute l'Eglise ; en dehors du fait que les Evêques de France ont, je pense, été un obstacle à cette promulgation. Quels sont les autres facteurs !
Si ce dernier (le MOTU PROPRIO) venait à être promulgué ; ne croyez-vous pas qu'il serait tellement restrictif dans ses modalités d'application qu'il rendrait la tâche difficile à tous les prêtres et religieux des communautés "écclésiadéistes" (pardonnez l'expression) et de celles de l'"Eglise conciliaire" et de la mouvance "FSSPX". Autrement dit la liberté donnée ne devriendrai-t-elle pas plus une contrainte !
D'autre part, n'avez pas exagéré le trait en disant de BENOIT XVI qu'il était "un traditionnaliste éclairé" !
Dans l'attente de votre réponse, veuillez agréer, Monsieur l'Abbé, l'expression de mes sentiments respectueux.
François |