Il est manifeste que la presse écrite a mis du temps à s’adapter au numérique. Un journal comme Présent souffre forcément de cette révolution à laquelle il tente de s’accrocher, on le voit bien avec certaines difficultés. L’Homme Nouveau essaye de compléter le papier par la video. Bien d’autres titres en restent au seul papier, et l’on n’ose guère les interroger sur le tirage réel et le nombre de lecteurs réellement à jour de leur abonnement.
Cette situation est quelque peu préoccupante.
Parallèlement, des blogs se développent ci-et-là pas toujours très créatifs ou reprenant des informations glanées à droite et à gauche dont ils assurent la synthèse, contribuant parfois à l’effondrement du lectorat de leurs sources.
Comment voyez-vous personnellement l’avenir de la formation des esprits dans les décennies à venir, sachant que se pose la question de tout un ensemble économique pour assurer la survie des canaux de transmission ? |