Le projet est celui d’une feuille d’analyse, brève, des problèmes de l’Eglise d’aujourd’hui, et de commentaires d’informations (brefs, eux aussi) en ce même domaine.
Mais rien n’est encore parfaitement fixé sur la périodicité, les abonnements, la diffusion. Un numéro test est sorti sous forme de PDF, que j’enverrai volontiers à ceux qui me le demandent, via XA, s’il le veut bien. L’éditorial a pour sujet : "Après le pontificat bergoglien, retour en arrière ou fuite en avant ?"
Le titre Res novæ est volontairement provoquant : l’expression signifie choses nouvelles. Elle était utilisée dans les encycliques anté-conciliaires comme synonyme des choses, notamment sociales, émanant de la Révolution française. Contrairement à ce que l’on croit, le titre de l’encyclique Rerum novarum est négatif (il parle de la soif des choses nouvelles). Dans les documents postconciliaires, le terme est pris en bonne part. Pour nous, il est pris en très bonne part : il faut aller vers des choses vraiment nouvelles, qui sont en fait des choses éternelles.
|