Bonjour Monsieur l'abbé,

Vous avez signalé la multiplication et la montée des contestations ces derniers mois, des interrogations soulevées par Amoris Laetitia aux réclamations du cardinal Zen contre l'accord chinois et à la critique portée par Mgr Chaput contre le prochain synode.

Nous trouvons-nous à votre avis dans une situation pré-révolutionnaire, au sens où le concevait Mallet du Pan sur le plan politique, c'est-à-dire dans une situation de vacance non du siège, mais du pouvoir, où le pouvoir ne veut plus ou ne peut plus se faire obéir ?

Si oui, dans quel sens se produirait selon vous le déplacement de pouvoir dans l'Eglise qui pourrait en résulter ?

Je vous remercie par avance pour vos réponses, d'autant plus que mes questions sont peut-être quelque peu confuses et mal formulées.

Peregrinus