Benoît XVI n’interviendra pas, pas plus qu’il n’est intervenu dans l’affaire d’Amoris lætitia, en soi plus grave puisqu’elle touche la doctrine même des sacrements. Il avait dit clairement aux cardinaux réunis qu’il ne se mêlerait d’aucune affaire après l’élection de son successeur. C’est comme ça : il pense que ce n’est plus de son rôle.
Il faut avouer que s’il intervenait, sur quelque point que ce soit, cela provoquerait une secousse tellurique, voire un schisme pour raccrocher à la question de Luc Perrin. Les sedebenedictins contre les sedefranciscains.
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