Certains observateurs font remarquer que le comportement de François est de plus en plus étrange. Dans l'avion de Dublin à Rome, il déclarait ne pas vouloir s'exprimer sur le rapport Vigano, mais depuis son retour, régulièrement lors de ses homélies à Ste Marthe, il aborde indirectement le sujet. Il se compare à Jésus innocent qui s'est tu lorsqu'il était accusé et il reproche à ses détracteurs, qui ne demandent que des réponses à leurs questions, d'être le "Grand Accusateur", Satan.
Si les interrogations concernant la santé mentale de François devaient s'avérer justifiées, quelle serait la procédure pour le déposer ou plutôt pour établir qu'il a perdu le Souverain Pontificat pour cause de démence ?
Comment l'Eglise devrait-elle considérer les décisions et les enseignements de François une fois que sa maladie aurait été établie et qu'il aurait quitté sa charge ?
Ayant travaillé à une époque dans un service de psycho-gériatrie, je sais par expérience que la maladie mentale ne se déclare pas du jour au lendemain. Elle s'installe insidieusement et altère progressivement le jugement et les fonctions intellectuelles.
Comment déterminer à partir de quel moment son enseignement et ses décisions ont été altérés par la maladie au point que nous devions les tenir pour nuls ? Et quid de ses canonisations ? |