J'aurais aimé vous rencontrer davantage, vous et votre épouse Jeanne Smits car j'apprécie vos écrits à tous deux. Guitton et moi étions opposés la plupart du temps au point de vue doctrinal, mais je lui rappelais mon père dont il avait été le camarade de classe en 8° (CM2). De plus, un prêtre m'avait dit de rester auprès de Guitton car je pouvais l'aider à avoir une doctrine plus catholique. Il m'avait demandé de lui chanter, au moment de sa mort, " J'irais la voir un jour " car c'était son cantique marial préféré, et je l'ai fait.