Merci Anne-Charlotte....
En dirigeant ce travail, je pense que j'ai pris conscience à la fois de l'importance de la romanité et, paradoxalement aussi, de l'universalité de l'Eglise. L'universalité fait de l'Eglise un monde extrêmement complexe qui parfois, doit gérer des forces contraires, des cultures et des peuples si différents, des intérêts politiques et sociaux très divers.
Ultimement, je crois qu'il est extrêmement difficile de se représenter un fait: un homme, le pape, vicaire du Christ, à la tête d'un milliard deux cent millions de catholiques... Ayant une bonne expérience d'entreprise, j'ai toujours pensé que le management, la gouvernance et le pouvoir font partie des exercices les plus difficiles... Alors gérer 1.2 milliards de catholiques...
On sort de cette expérience intellectuelle avec une forme d'humilité face à cette "tension" du pouvoir. On "juge" moins (même si l'historien n'est pas là pour juger), on tente de comprendre davantage. |