J'ai la chance d'avoir un rédacteur en chef particulièrement attentif et ouvert. Jamais il ne m'imposerait un sujet ou le traitement d'un sujet si je peux lui expliquer en quoi celui-ci est contraire à l'éthique que je m'impose. certains sujets, ou la présentation de certains faits peuvent être plus destructeurs que constructifs. C'est là la limite que beaucoup de journalistes, même non chrétiens, se fixent. Les rédactions pour lesquelles je travaille prennent cela en compte... |