Emmanuel,
je me permets de vous renvoyer à ma réponse à Prosper Gardès. J’y ajouterais qu’il existe des structures que je ne connais pas et que des incroyants font sûrement beaucoup de bien. Lisez « Plus grand que l’amour » de Dominique Lapierre. Les catholiques ont été les premiers à accueillir les malades du sida. Mère Térésa a fondé la maison d’accueil « le don d’amour » à New York » pour accueillir les malades souvent homosexuels en pleine révolution sexuelle homosexuelle. Mais l’ignorance créait des peurs irrationnelles ou certains parlaient de jugement de Dieu. L’Eglise a montré le vrai visage du Christ et le cardinal O’Connor, bête noire des homosexuels militants, s’est proposé aussi pour tester les médicaments. À l’époque, c’était héroïque.
Beaucoup de gens font du bien sans le dire. Par définition, ils sont discrets. Ceux qui parlent beaucoup même chrétiens sont parfois plus ambigus sur leur fidélité à la vérité. On ne peut pas servir deux maîtres à la fois. Certains feraient bien de se souvenir que c’est autant l’âme que le corps qui a besoin d’aide surtout quand on est tombé si bas.
Les comportements homosexuels sont les plus dangereux, la sodomie parce qu’elle viole la nature et le multi partenariat, par centaines. Ces pratiques rendent inefficace toute prévention sur le long terme.
Je rencontre parfois des malades ou des familles ayant perdu un proche. Le soutien se fait souvent discrètement à cause de l’image du sida et souvent dans la famille ou par les amis.