Bonjour Monsieur l'abbé,
Dans son Motu Proprio Summorum Pontificum, Benoît XVI a formulé une invitation explicite à l'enrichissement réciproque des deux formes de l'unique rite romain.
La Commission Ecclesia Dei ayant clairement indiqué qu’il n’était pas permis de mélanger les deux formes (calendrier, lectionnaire, préfaces…), que faut il comprendre par enrichissement des deux formes de l’unique rite romain ?
Dans la pratique, en quoi la forme extraordinaire peut enrichir la forme ordinaire ?
Merci |