Monsieur l'abbé,
Dans votre dernier ouvrage ("La messe à l'endroit") consacré à la forme ordinaire, vous avez répertorié les courants qui, à l'intérieur de l'Eglise, étaient favorables à l'enrichissement de la forme ordinaire par la forme extraordinaire.
Votre ouvrage, passionnant et précis, est un examen de différentes praxis.
Ma question est la suivante : est-il pensable que Rome n'intervienne pas par voie normative, au bout d'un certain délai pour fixer la prxis et, surtout, garantir le succès de la réforme ? |