Permettez-moi de revenir sur vos propos:
De même il n'est d'aucun intérêt de réanimer un cancéreux au dernier des stades ou un prématuré majeur dont manifestement les chances de vivre une vie à peu près normale sont infimes.
Etant mère d'une petite fille prématurée, je veux vous demander comment peut-on prédire à la naissance les chances de vie normale pour réanimer ou non un enfant.
Ma fille née à 27 SA souffre 3 ans après d'un handicap physique assez lourd (et nous nous réjouissons tous les jours d'avoir trouvé des médecins admirables pour la prendre en charge lors de sa naissance) alors que des enfants que nous connaisons nés à 25 SA ne souffrent d'aucun trouble majeur. |