Cette question mérite aussi d'amples développements.
Sommairement :
1) La politique que je défends n'est pas celle de "l'immigration 0", mais celle de l'inversion du courant de l'immigration. (Cela pourrait donc être : immigration moins que 0) !
2) L'Eglise est dans son rôle en rappelant aux croyants les exigences de l'hospitalité et de la charité.
3) La puissance publique en France, pays qui a déjà accueilli plus de 10 millions d'étrangers au cours des dernières années, est fondée à vouloir prémunir la nation contre les conséquences néfastes d'une présence qui est à l'origine de nombreux désordres politiques, économiques, sociaux.
4) De la même façon, l'Eglise prône à juste titre le pardon des offenses. Mais que dirait-on d'un régime politique qui, sur ce fondement, renoncerait à punir les criminels ? Je prends cette comparaison, non pas pour comparer les immigrés à des criminels, loin s'en faut, mais seulement pour expliquer que la puissance publique peut être soumise à d'autres impératifs moraux, en vue du Bien commun, que ceux qui s'imposent aux individus.
5) En l'occurrence, rien ne me paraît moralement condamnable dans les solutions que je préconise pur lutter contre la politique immigrationniste :
a) instauration de la légitime préférence nationale ; b) réforme du code de la nationalité pour mettre fin aux naturalisations automatiques, et que cette nationalité désormais s'hérite ou se mérite ; c) expulsion sans faiblesse des délinquants étrangers, qui ont violé l'hospitalité française ; d) coopération internationale avec les pays d'où sont originaires les immigrés, etc. |