La situation politique (autant que la situation ecclésiale) est peu reluisante.
Les hommes politiques et une part très importante de l'opinion publique - j'emploie ce terme faute de mieux -, n'est plus réceptive aux enseignements de l'Eglise. Le fossé va grandissant entre ceux qui croient, professent quelque chose, mais se retrouvent de plus en plus minoritaires et ceux qui, perméables au vent ambiant, restent majoritaires.
Dans la mesure où vous avez exercé et exercez toujours des responsabilités publiques, quelle est votre regard sur la situation actuelle ? Y a-t-il une place pour les catholiques en politique ? Y a-t-il des raisons d'espérer ? |