une réponse, dans ce rendez-vous dans lequel je ne suis qu'un liseur parmi d'autres. Nous traitons très mal, par ma faute, nos lecteurs, dans la mesure où nous ne trouvons pas assez de temps pour répondre à leurs demandes, très souvent légitimes, parfois étonnantes et même très surprenantes. Nous travaillons plus que notre temps, sans pouvoir prétendre aux salaires de la grande presse. Nous sommes très peu nombreux. La seule explication, c'est notre limite humaine, dans un contexte difficile. Ce n'est évidemment pas une excuse, mais une simple explication.