L'Homme Nouveau compte actuellement un peu moins de 10 000 abonnés. Pour donner un ordre de grandeur, c'est à peu près autant qu'Il est vivant!, un peu mieux que Témoignage chrétien, et deux fois plus que La Nef ou France catholique.
La sensibilité des lecteurs se répartit ainsi : 1/3 attachés à la messe extraordinaire, 1/3 proches des communautés dites nouvelles (Saint-Jean, charismatiques...), 1/3 paroissiens de base.
Comment est-il reçu par les évêques ?
En France, sans doute de façon très diverse. Très positivement par la poignée de « bons » évêques que vous connaissez (et qui s'expriment de temps à autre: NN SS Guy Bagnard, Raymond Bouchex, Henri Brincard, André Fort, Guy Gaucher, Paul-Marie Guillaume, François Maupu, Dominique Rey, Georges Lagrange...), et même par quelques autres dont le soutien est aussi inattendu que discret.
A Rome, nous avons de grands amis, qui sont comme par hasard ceux de Benoît XVI. Sans eux, nous n'aurions pas obtenu le contrat de promotion de L'Osservatore Romano tant convoité par les grands groupes de presse chrétiens. Nous n'avons pas que des amis, mais ils tendent à disparaître lentement, au fil des nominations un peu moins !
Et puis n'oubliez pas que celui qui était le cardinal Ratzinger avait choisi L'Homme Nouveau en 2001 pour lui demander, lors d'une rencontre avec son rédacteur en chef Philippe Maxence, d'organiser un débat au sein de l'Eglise de France autour de son livre L'Esprit de la liturgie. Vous comprendrez aisément que nous sommes davantage sensibles à ce genre de marques de confiance qu'aux errements d'évêques néogallicans dont l'ecclésiologie s'est arrêtée avant Vatican I.
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