Chers liseurs,
Je ne rentre qu'à l'instant d'une journée de travail remplie. Et bien remplie, Deo gratias. (Les commerciaux comprendront.)
Je ne voudrais pour rien au monde que ce rendez-vous avec Monsieur Maxence Hecquard ne s'achève, sans lui rendre ici un vibrant hommage et le remercier chaleureusement publiquement.
En février 2005, vous avez été, cher Maxence, à l'origine de la première manifestation publique à laquelle fut associé le Forum Catholique. (Ce fut aussi la dernière hihi...) l s'agissait de ce fameux Congrès du 6 février 2005 qui valut à M. l'abbé de Tanoüarn quelque remontrance épiscopale qui lui montrèrent une porte de sortie oxygènante, pour nous tous, et j'oserais dire pour lui-même en particulier.
A l'occasion de ce Congrès dont vous avez assuré la Présidence (j'ai toujours du mal avec le passé simple), cher Maxence, fut organisée la première Rencontre Inter-Liseurs, sous les doux auspices d'une fidèle liseuse du Forum, qu croyait - et croit encore, ai-je la faiblesse de pensée - en la Charité. Ce jour-là, donc, même si vous ne vous en êtes pas rendu compte, le Forum catholique a passé une étape. Et à ce titre, rien qu'à ce titre déjà, je vous suis éternellement reconnaissant pour tout cela.
D'autres rencontres ont eu lieu depuis. D'autres leur succéderont. Elles resteront à mes yeux les filles de cette Aînée glorieuse.
J'ai su apprécier par la suite votre fidélité. Vos joutes avec M. l'abbé de Tanoüarn auxquelles nous avons assistées ici, et relayées, hélas!, par ailleurs, nous ont permis d'apprécier votre honnêteté intellectuelle, et votre amour pour cette quête de la Vérité qui meut la plupart d'entre nous. Des erreurs, nous en faisons certainement tous. Assurément même. Mais tout du moins essayons-nous de nous brûler au feu du combat des idées.
Votre ouvrage, que je confesse ne pas avoir encore lisu (ben oui, mon Beau père me l'a confisqué), mais que j'ai survolé, respire cette intelligence qui nous sauvera dans un monde qui se rue (pardonnez-moi) sur les jeux et sur le spectacle de quelques muscles en action à la quête de l'en-but adverse. Pardonnez-moi, mais Jeanne avait plus de cou... rage qu'un Chabal, non ?
Je termine, cher Maxence, en vous réinvitant ici dès que bon vous semble. A l'occasion peut-être de votre prochaine Somme. Vous êtes ici chez vous, et ce n'est pas un vain mot.
Du fond du coeur, et d'au-delà : MERCI.
Je vous serre, s'il vous plait, très amicalement la main.
XA |